13.09.10

[notes journal]

et faut-il que la vie parfois soit dans ces seins qu'on empoigne, dans ces deux-là qu'on poigne plus longtemps parce qu'ils étaient plus beaux, parce qu'ils tiennent des promesses ? dans de très opulents mais qu'on m'accorde peu ? ou dans les tout petits des toutes petites frappes dont la nuque rase à condition qu'elle ploie m'est bonne à l'âme, dont il faut avec l'échine, les reins étroits, le cuir odoriférant quelquefois des poignets, le débardeur avoir actionné les froissures, mû ce qui peut savoir trembler quoique elles promènent des havresacs, de la récalcitrance et souvent de grands chiens ? dans les miens de loin en loin proposés, les deux miens de moi craints, dans les trocarts, les engins ? la vie, tout ou partie dans les effrois dont il arrive que l’on s’ébroue pour jouir ? dans jouir en dépit que j’en aie ? où ? dans jouir ?

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