31.07.09

l’amie chère que coup sur coup j’apprends un temps beyrouthine et le cœur épris de frais.
la pointe au mien m’étonne.
le regret de n’être pas ensemble par-dessus des jacarandas et des palmes.
mais quoi ?
certain déplaisir du célibat auquel je crois pourtant m’adonner avec satisfaction ?

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